Le procès des organisateurs des manifestations contre les « bassines » à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) a repris ce mardi 28 novembre à Niort. Ce procès est devenu le débat sur les réserves d’eau pour l’irrigation agricole. Neuf responsables associatifs ou syndicaux sont poursuivis devant le tribunal correctionnel pour différents motifs, notamment l’organisation des manifestations interdites du 29 octobre 2022 et du 25 mars 2023 qui ont donné lieu à des affrontements violents avec les forces de l’ordre. Les partisans des « bassines », qui permettent de stocker de l’eau puisée dans les nappes en hiver pour irriguer les cultures en été, soulignent leur nécessité pour faire face aux sécheresses répétées et garantir une récolte suffisante. Les opposants, quant à eux, dénoncent un « accaparement » de l’eau par l’agro-industrie et demandent un moratoire sur ces projets. Le procès devrait se poursuivre avec les réquisitions du parquet et les plaidoiries de la défense.
Cela fait suite à la reprise du procès des manifestations contre les « bassines » à Sainte-Soline, dans le département des Deux-Sèvres. Le procès, qui avait été interrompu en septembre en raison de la longueur des débats, a pris une tournure centrée sur les réserves d’eau pour l’irrigation agricole. Neuf responsables associatifs ou syndicaux sont poursuivis pour diverses infractions, notamment l’organisation de manifestations interdites qui ont été marquées par des affrontements violents avec les forces de l’ordre. Les partisans des « bassines » affirment qu’elles sont nécessaires pour garantir des récoltes en période de sécheresse, tandis que les opposants dénoncent un « accaparement » de l’eau par l’agro-industrie. Le procès est toujours en cours et devrait inclure les réquisitions du parquet ainsi que les plaidoiries de la défense.
Le procès des organisateurs des manifestations contre les « bassines » à Sainte-Soline, dans le département des Deux-Sèvres, a repris ce mardi à Niort. Neuf responsables associatifs ou syndicaux sont poursuivis pour avoir organisé des manifestations interdites en 2022 et 2023, qui ont dégénéré en violents affrontements avec les forces de l’ordre. Les partisans des « bassines » défendent l’importance de ces réserves d’eau pour l’irrigation agricole, tandis que les opposants dénoncent un « accaparement » de l’eau par l’agro-industrie. Le procès se poursuit avec les réquisitions du parquet et les plaidoiries de la défense.