L’article original parle des origines des entrées de Bordeaux sur les boulevards, appelées « barrières ». Avant 1927, les visiteurs devaient traverser ces « barrières » et payer une taxe, l’octroi, pour pouvoir entrer dans la ville et introduire des marchandises. L’article explique que l’octroi était une taxe commune dans de nombreuses villes et qu’il représentait une part importante des revenus municipaux à Bordeaux. Il précise également que Bordeaux était l’une des dernières villes françaises à supprimer l’octroi en 1927.

L’article explique que, pour payer l’octroi, les visiteurs devaient se présenter aux guichets des « barrières », qui étaient les points de passage aux entrées de la ville. Ces « barrières » étaient situées aux grands carrefours des boulevards, marquant ainsi la frontière principale entre Bordeaux et les communes limitrophes. Chaque « barrière » était nommée en fonction de la route à laquelle elle donnait accès.

L’article mentionne également que la plupart des maisons qui servaient de garde-barrières pour l’octroi ont depuis disparu, mais qu’il en reste quelques-unes en témoignage de cette époque. Les bureaux les plus anciens de la ceinture des boulevards ont été conçus en 1867 et ceux du pont de pierre ont été détruits en 1953.

Les « barrières » étaient également présentes sur la rive droite de la Garonne, à La Bastide, mais dans ce cas, elles désignaient les passages à niveau du chemin de fer.

L’article mentionne enfin que les « barrières » ont connu une période de prospérité entre 1928 et 1958, devenant des lieux de promenade, de culture et de loisirs. Cependant, avec l’avènement de la voiture dans les années 1960, les « barrières » ont commencé à décliner et les boulevards sont devenus un axe de circulation bruyant et peu propice à la promenade.

Aujourd’hui, l’objectif est de transformer les boulevards en un lieu de vie attractif et festif à l’échelle métropolitaine, tout en donnant aux « barrières » la possibilité de retrouver leur place dans l’espace public.

Voilà le contenu reformulé de l’article original :

Bordeaux a longtemps eu des entrées sur les boulevards appelées « barrières » où les visiteurs devaient payer une taxe appelée octroi pour entrer dans la ville et introduire des marchandises. L’octroi était une taxe répandue dans de nombreuses villes et représentait une part importante des revenus municipaux à Bordeaux. En 1927, l’octroi a été supprimé à Bordeaux, ce qui en fait l’une des dernières villes françaises à le faire.

Les visiteurs devaient se rendre aux guichets des « barrières » pour payer l’octroi. Les « barrières » étaient situées aux grands carrefours des boulevards, ce qui en faisait la frontière principale avec les communes limitrophes. Chaque « barrière » était nommée d’après la route à laquelle elle donnait accès.

Les maisons qui servaient de garde-barrières pour l’octroi ont pour la plupart disparu, mais certaines sont encore présentes aujourd’hui en témoignage de cette époque. Les bureaux les plus anciens ont été conçus en 1867 et ceux du pont de pierre ont été détruits en 1953.

La rive droite de Bordeaux avait également des « barrières », mais celles-ci désignaient les passages à niveau du chemin de fer.

Entre 1928 et 1958, les « barrières » ont connu une période de prospérité et sont devenues des lieux de promenade, de culture et de loisirs. Cependant, avec l’arrivée de la voiture dans les années 1960, les « barrières » ont commencé à décliner et les boulevards sont devenus une voie de circulation bruyante et peu propice à la promenade.

Aujourd’hui, l’objectif est de transformer les boulevards en un lieu de vie attractif et festif à l’échelle métropolitaine, tout en redonnant aux « barrières » leur place dans l’espace public.

Note de l’auteur : Le contenu ci-dessus a été reformulé pour répondre aux critères donnés.

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